La posture est accompagnée par le souffle de la même manière que l'on arrose la graine d'une fleur pour la faire germer et grandir. Cela demande de la patience, de la régularité, mais également de la douceur.
Dès lors que c'est notre mental qui décide de nous faire aller plus loin dans la posture, faisant alors précipiter ou couper notre souffle, dès lors que nous cherchons un résultat "rapide et efficace" (comme nous avons été conditionné à le faire depuis tout petit), c'est comme si nous tirions sur une fleur pour la faire pousser.
Elle finit par casser.
Marie-Eve
Pour compléter ces quelques mots, lire chez Yogamrita, un très bel article ainsi que les commentaires.
Mais aussi: "Stressé mais yogi quand même"